Les accumulateurs vivent souvent de l’isolement et mènent une vie remplie de contraintes. De fait, ils sont réticents à laisser entrer des personnes dans leur maison à cause d’un sentiment de honte qu’ils éprouvent face à l’état d’encombrement.

Leur problème peut également les amener à vivre de la culpabilité et peut entraîner la dépression.  Au point de vue des relations interpersonnelles, il peut être difficile de débuter ou de maintenir une relation dû au manque de compréhension de la problématique par l’autre personne ou encore aux contraintes imposées par le TAC.

De plus, la personne vivant avec le TAC peut éprouver de véritables difficultés à fonctionner normalement dans ses activités de la vie quotidienne.  Par exemple, elle peut être restreint dans son accès à la cuisine et donc limité dans la préparation de ses repas.  Elle peut aussi avoir de la difficulté à utiliser la baignoire ou la douche ou encore avoir accès à son lit.  Il peut y avoir perte de documents importants. L’habitation encombré peut présenter des risques d’insalubrité, d’incendie ou encore, dans des situations plus avancées, des risques au niveau de la structure du bâtiment. Finalement, personne vivant avec le TAC peut avoir à faire face à des menaces répétées d’éviction de la part des propriétaires ou des autorités.